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 [pas fini] La sphère de Fusion

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brpsycho
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brpsycho


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MessageSujet: [pas fini] La sphère de Fusion   [pas fini] La sphère de Fusion EmptyDim 4 Nov - 23:02

[pas fini] La sphère de Fusion 113 [pas fini] La sphère de Fusion 114 [pas fini] La sphère de Fusion 111

An 118 de l'ère moderne.

L'île flottante de Dar Mik.

Chapitre I - Que la quête commence

Maal Dargusson et ses élèves étaient à une table de la poussiéreuse taverne ou ils s'étaient arrêtés. Dargusson était sur un nouveau projet, une nouvelle quête à travers le présent pour retrouver le passé. Il avait quatres élèves. Raumas Loringan, aux cheveux noirs courts et à la moustache exagérée, était venu d'on ne sait trop ou. Ce qu'on savait, c'est qu'il était étranger, et le reste n'avait pas beaucoup d'importance. C'était même très bien qu'il soit étranger, une qualité en histoire, puisqu'il emmenait avec lui sa culture, et que sa présence témoignait de sa capacitée à voyager. Trys Monribald était plus connu pour ses exploits d'explorateur que pour son savoir historique, mais il était assez bien fourni dans les deux cas et il fallait de tout dans une équipe d'archéologues. Saori Tegoniald était une étudiante d'histoire très calée, mais également une apprentie magicienne prometteuse. Enfin, le jeune Tom Rolbam était un admirateur des historiens et rêvait depuis toujours de suivre leur voie.
Dargusson avait trouvé un nouveau but, une nouvelle obsession qu'il allait enfin leur révéler...
- Camelot, souffla-t-il en tirant de vieux rouleaux de parchemins de sa sacoche. Vous connaissez la légende ? marmonna-t-il.
- À vrai dire, pas beaucoup, admit Raumas Loringan
- Expliquez-lui, Saori, souffla-t-il en dépliant un parchemin rempli de pictogrammes poussiéreux.
- Hé bien, commença-t-elle, apparement fière que son savoir ait été reconnu, la vallée d'Avaal'n, avant la séparation des terres, se situait tout au nord-est de Faebrys.
- C'est encore le cas, non ? intervint Trys.
- Hé bien, les ruines sont toujours au nord-est, mais ce n'est plus vraiment une vallée... Quoiqu'il en soit, cette vallée était séparée des autres par une chaîne de montagnes. On raconte qu'un des mortels titanesques aurait...
- Je connais ça, intervint Raumas. N'est-ce pas l'histoire de ce mortel qui aurait combattu une armée dirigée par Camelot ?
- En effet, admit-elle.
- Hé bien, je veux dire, qu'y a-t-il d'autre à savoir ?
- Ce n'est pas cet évènement-là qui m'intéresse, tonna soudain le vieux Dargusson. Je m'intéressait aux activitées de Camelot avant sa destruction, évidemment. Les ruines qui en restent n'ont d'ailleur que peu d'intérêt. Mais j'ai pu retrouver ce parchemin. Les rhunes que vous ne comprenez probablement pas sont de l'écrit d'Avaal'n. Un récit illustré des quêtes des héros de Camelot. Vous n'avez peut-être pas entendu que, au milieu de leurs recherches, si l'on exclut les artefacts et armes magiques qu'ils ramenaient, ils recherchaient surtout un objet, qu'il n'ont selon moi jamais retrouvé. Ils l'appelaient le Grail.
- N'était-ce pas, selon la légende, l'instrument des dieux pour créer le monde ? s'émerveilla Saori.
- Oui, mais je doute qu'il s'agisse d'un artefact divin, la coupa Dargusson. Il y a eu d'autres mortels avant nous ! Mais peu importe. L'important est qu'ils n'ont jamais trouvé le Grail, mais en revanche, ils ont récolté diverses informations. Observez les images sur le parchemin.
- Les chevaliers semblent émerveillés par cet objet central, décrivit Trys, une sphère grise qui émet des raies de lumière.
- Notez les détails sur ces raies de lumière, ajouta Dargusson. Évidemment, vous n'avez pas beaucoup étudié Avaal'n, il s'agit de symboles de destruction et de création, ainsi que d'existence. On en trouve de semblables dans les comptes d'alchimistes Avaal'niens qui cherchaient à changer le plomb en or, par exemple. L'artefact qu'ils cherchaient, le Grail, était capable de transformer, de modeler.
- Ou voulez-vous en venir ? s'impatienta Raumas en triturant sa moustache.
- Cet objet n'est pas de pure fiction. Les légendes féériques du Mikrite parlent parfois d'un objet semblable. La plupart des sources ont été détruites. Le mot employé à Camelot, Grail, a des racines féériques, Gréol. Transposer du féérique au langage commun est évidemment assez imprécis mais, le mot à trait à la matière, chaotique, faible ou simple, insignifiante. Ce n'est pas un mot de désignation de la matière, mais un mot représentant l'action, le pouvoir sur la matière. Le problème est que nous ne pouvons pas savoir que quelle action il s'agit. Il nous manque un mot, un qualificatif. Grail, Gréil ou Gréol doit être une simplification d'une expression employé par les ancêtres féériques de Camelot. C'est pourquoi nous aurons besoin de retrouver des concordances dans les documents des fées de la Death Montagne - de Mortemont, pardon, j'emploie son nom archéologique par habitude. Nous pourrons savoir plus exactement de quoi il s'agit, mais également ou le trouver, s'il on en croit les récits de Camelot, car c'est leur dernière piste, que la guerre leur a coupée.
- Nous nous rendons donc vers Mortemont ? en conclut Tom.
- Très juste, jeune homme, reprit Dargusson avec une lueur d'impatience dans les yeux. Ne vous inquiétez pas, je vous paie la traversée.

Chapitre II - Le volcan fantôme

Si l'enfer était fait de flammes, comme dans certaines légendes wormaniques, alors les seules machines capables de reproduire les flammes de l'enfer devaient avoir été construit par les méchalix, sinon leurs ancêtres. Notre équipe de chercheur voyageait à bord d'un de leurs engins. Les ingénieurs méchalix qui pilotaient l'engin courraient dans tous les sens comme des lutins cherchant à échapper à quelque sorcier cracheur de feu, sorcier qui semblait se matérialiser dans les innombrables tuyaux qui s'échappaient de la machine en projettant des jets de flammes ardentes avec une odeur qui agressait les narines. Les tubes de métal parcourraient certaines surfaces de la coque avant de s'y enfoncer, une coque de bois et de métal, de laquelle s'échappaient parfois des engrenages massifs qui tournaient plus ou moins vite, généralement proches d'une ou plusieurs planche de bois qui tournait dans les airs. C'était ces planches de bois qui, selon les méchaniciens, déplaçait l'appareil sur le plan horizontal. La position horizontale était maintenue par ce qu'ils appelaient le ballon, une énorme coque qui flottait au-dessus du navire et qui était remplie d'un gaz volatile.
- Volatile signifie qu'il peut voler ? demanda Tom.
- Non, répondit un petit ingénieur, probablement de la race des nains ou des gnomes, dont le visage était caché par un casque rempli d'accessoires visant sans doute à modifier son accuïté visuelle, et le corps par des ceintures remplies d'outils de diverses sortes qui semblaient pour la plupart inconnus aux yeux des voyageurs. Cela signifie, corrigea-t-il, que c'est un gaz qui pourrait prendre feu à tout moment, entraîntant l'explosion du ballon et la chute de l'appareil, s'il reste en un seul morceau.
Tom déglutit. Trys s'inquiéta :
- Comment faites-vous pour éviter qu'il ne prenne feu, alors ? Je veux dire, en voyant tous ces jets de flammes...
- Ça ne fait que démontrer une fois de plus le génie des méchalix, n'est-ce pas ?
L'ingénieur souriait visiblement sous son masque d'appareils mystérieux.
- Sans doute, admit Trys.
- Moi ce qui m'étonne le plus, intervint Saori, c'est que ce soit un gaz qui nous maintienne en l'air. Il n'y a pas une force magique, ni mécanique qui est mise en jeu par cet appareil ?
- Nous avons surpassé la magie, siffla l'ingénieur. Les magitechniciens Samuuri n'ont jamais su prendre l'air avant que nos navires flottants n'emplissent les cieux.
- Mais les dresseurs d'animaux vous ont devancé, n'est-ce pas ? Lâcha Trys avec un sourire sournois.
- Ne me parlez pas de ces sauvages de Griffedefer ! Si nous en croisions un, vous pourriez admirez la prouesse des canons d'artillerie méchalix ! Et puis, c'est finalement une force de la nature qui nous maintient en l'air également ! Pensez-y, si les animaux s'efforcent de voler pour atteindre les cieux, le gaz qui nous porte en ce moment s'est toujours trouvé dans les air, c'est dans sa nature, simplement.
Raumas, non loin, écoutait la discussion attentivement, tout en retenant une de ses liasses de parchemins sur laquelle il semblait prendre des notes. Cet homme semblait parfois déborder de papier. Peut-être venait-il d'une contrée ou le papier était plus répendu qu'ailleurs, d'une contrée ou on le fabriquait ? Le Gaelaar, par exemple ?
Tandis que Trys se posait des questions sur l'étranger, Dargusson, qui regardait vers l'avant depuis le début du voyage, comme si les merveilles de ce vaisseau étaient pour lui une habitude, se retourna soudain pour annoncer :
- Nous y sommes, regardez !
En effet, au-dessous des rochers flottants qui caractérisaient cette nouvelle ère, on voyait une des quelques îles qui touchaient encore les eaux. Celle-ci semblait s'être enfoncée encore plus profondément dans les eaux. On voyait les côtes de l'île continuer, submergés, avant se s'arrêter brusquement quelque part au-dessous de l'eau. Mais le plus spectaculaire, c'était la montagne qui s'élevait au milieu de l'île. Encerclée par des masses de neiges et ornée par des glaciers, elle élevait son sommet enneigé parmis les autres îles flottantes qui l'entouraient.
- Voici Mortemont, ajouta le vieillard.
Le navire flottant s'avançait toujours plus proche de la montagne. Dargusson marmonna quelques mots aux méchalix et leur vaisseau commença à s'élever vers le sommet de la montagne. Il s'approchait d'une statue qui semblait très ancienne. Elle représentait un dragon terrassé par un héros humain ou humanoïde. Il manquait une aîle au dragon, un bras et la tête à la silhouette humaine, mais elle brandissait toujours de son bras restant un glaive émoussé par le temps.

À suivre...
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